mardi 26 janvier 2016

Kitzbühel 2016 | 4 blessés sur deux jours ! Les organisateurs Autrichiens ont-ils joué avec la santé des athlètes ?

La descente, où cela tapait beaucoup, dans des conditions de visibilités dangereuses et inéquitables ? 

L'épreuve était-elle équitable ? (Pour visionner la descente d'Adrien Théaux avec les commentaires de Jean Pierre Vidal au sujet de la visibilité et de la glisse changeante, en raison de la neige tombante, cliquer ici)

En regardant la vidéo ci-dessous : L'extérieur de la ligne de course était-il parfaitement dégagé de la neige fraiche (ou de la neige déplacée par les premiers skieurs ou les lisseurs) au niveau de la compression (juste après l'Hausbergkannte et juste  avant la traverse) ? C'est pourtant cette ligne extérieure qu'ont choisie des favoris, comme Streitberger, Reichelt et Svindal, car probablement la plus rapide... En ski, le chemin le plus rapide n'est pas toujours le plus court et un passage à l'extérieur de la ligne permettait peut être une meilleure utilisation du terrain avec une accélération dans la ligne de pente suivi par une possibilité d'attaquer la traverse avec beaucoup de hauteur et donc possiblement une plus grande vitesse dans le schuss final...

Toujours au niveau de la compression, la neige qui est juste avant les filets de protection a t'elle était travaillée ?

Par ailleurs, que penser de la chute d’Otmar Striedenger (dossard 1) qui tombe sans se blesser dans les derniers mètres où l'on voit bien que la neige n'a pas été dégagée (pas plus que dans l'aire d'arrivée) ?




Après que trois athlètes aient fini leur samedi à l'hôpital, était-il raisonnable, le dimanche, de rendre plus difficile la piste du slalom en y ajoutant un mouvement de terrain artificiel ?




2 commentaires:

  1. Il est clair qu'il y a quelque chose de louche dans tout ça!

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  2. Le ski de compétition est un sport à risques (plus particulièrement à haut niveau et sur les épreuves de vitesse).

    Il faut du temps pour préparer une piste de descente surtout s'il y a de la neige fraiche sur la piste. Un travail de fourmis.

    Il y a des enjeux financiers et de prestige qui peuvent parfois pousser les organisateurs à maintenir une course malgré les conditions météos. Surtout à Kitzbühel...

    Il peut aussi il y avoir la tentation d'en faire un peu trop au niveau du spectaculaire...

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